Figés dans un mouvement, les corps sont architectures. Lignes verticales et horizontales se forment telles une structure. Semblables à des os, seuls des points noirs viennent rythmer la partition. Têtes en bas, fesses en l’air, c’est dans la position du chien à trois pattes que s’écrit la scène.
Mouvement emprunté à la capoeira, dont la traduction du mot est cage à poules, c’est dans l’ambiguïté de cette position sportive que se crée une cadence entre soumission ou rebellion.